Lutte contre le cyber harcèlement, l'histoire...
Le cyberharcèlement est un fléau qui touche tout le monde. Vos amis, vos enfants, votre famille, la plupart du temps sans que vous puissiez réagir et les défendre
Cette situation, les créateurs de SAFEBEAR l'ont vécue et leur combat juridique, faute de preuves tangibles et du bon vouloir des autorités, a débouché sur un non-lieu et donc la non-condamnation des agresseurs.
Présentation de l'entreprise
SAFEBEAR en quelques mots
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Société par Actions Simplifiée (SAS)
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Création en mai 2022
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Capital de 2330,16€
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Président : C. Guillon
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Directeur Général : J. Guillon
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Nombre de salariés : 3
SAFEBEAR est une entreprise visant à proposer une solution numérique (B2B - B2C) pour lutter contre le cyber harcèlement sur les plateformes digitales. Cette solution informera, protègera et défendra ses utilisateurs contre la toxicité en ligne.
Toutes les populations sont concernées
Les chiffres sont alarmants
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7 jeunes sur 10 sont victimes de cyberharcèlement avant d'atteindre l'âge de 18 ans.
(Sales Hacking) -
38% des personnes sont quotidiennement victimes de cyberintimidation sur les plateformes de médias sociaux.
(Panda Security) -
25% des étudiants victimes de cyberintimidation se tournent vers l’automutilation pour faire face.
(Panda Security) -
9% des jeunes adultes rapportent que des personnes publient des photos embarrassantes d’eux sur les sites de médias sociaux sans autorisation.
(Pew Research) -
Les enfants âgés de 9 à 10 ans sont plus susceptibles d’être victimes d’intimidation sur les sites Web de jeux, tandis que les adolescents âgés de 13 à 16 ans sont plus susceptibles d’être touchés par la cyberintimidation sur les réseaux sociaux.
(Parlement Européen) -
42 % des adolescents ont été victimes de cyberharcèlement sur Instagram et 37 % d’entre eux ont été victimes de harcèlement sur Facebook.
(Ditch The Label) -
38% des personnes voient quotidiennement des cas de cyberintimidation sur les réseaux sociaux.
(Statista)
Dépôt de brevets
SAFEBEAR, une solution brevetée
SAFEBEAR a déposé 2 brevets technologiques pour protéger sa solution dans le monde entier.
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Le premier concerne la sensibilité de la détection et la sensibilité de l'intelligence artificielle plus proche de l'humain de 40% par rapport aux autres I.A.
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Le deuxième concerne l'analyse sémantique et contextuelle de messages pour lutter contre la toxicité
Une I.A. novatrice
Des résultats supérieur à 90%
L’intelligence artificielle permet de masquer les messages haineux et le harcèlement sur les réseaux sociaux sans restreindre la liberté d’expression.
Elle analyse sémantiquement les messages et leurs contextes afin de les classifier dans l'interface selon le choix de l'utilisateur.
Pour ce faire L'IA s’adapte à l'utilisation et aux seuils d'acceptation propres à la personne protégée grâce à sa faculté d’apprentissage constant (machine learning).
L’IA est donc en capacité de classifier les comportements toxiques sous de nombreuses étiquettes (toxique, menace, obscène, haine de l'identité, insulte, etc.)